Les anomalies gaz et électricité à la loupe d’Ex’im !

Anticiper, voilà l’objectif de l’étude menée par Ex’im portant sur les anomalies les plus souvent rencontrées dans les diagnostics électricité et gaz. Un contexte aux enjeux importants puisque ces deux nouveaux diagnostics deviendront obligatoires à la location à compter du 1er juillet 2017.

Face à ces obligations, le réseau de franchise a voulu informer ses clients et devancer la demande en publiant une étude sur les anomalies électricité et gaz les plus courantes. Ex’im s’est basé sur un échantillon représentatif de plus de 100 000 diagnostics électricité et 55 000 diagnostics gaz réalisés par son réseau dans le cadre de la vente de logements.

Et les chiffres interpellent. Ils illustrent sans mal le bien-fondé de ces diagnostics, et montrent les risques existants dans le logement dont l’occupant n’a pas toujours conscience.

59% des installations de gaz présentent au moins une anomalie. Un logement sur trois présente des amenées d’air insuffisantes et donc un risque d’intoxication au monoxyde de carbone. Un sur quatre comporte une anomalie sur un robinet de commande d’un appareil et 17% des installations présentent un ou plusieurs tuyaux non rigides dangereux.

3,43% des installations de gaz ont dû être coupées pour cause de danger grave immédiat (DGI), ce qui implique une fermeture totale ou partielle de l’installation en coupant l’arrivée de gaz.

54,4% des installations électriques présentent au moins trois exigences minimales de sécurité non satisfaites comme le risque de contact direct (73,7%), la protection contre les surintensités (51,7%) ou des installations comportant un défaut de mise à la terre (79%), entre autres.

Pour mieux comprendre les diagnostics gaz et électricité, Ex’im a réalisé une vidéo explicative.

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